Histoire de la commune

Appelée  "capelus de sancto Prejecto", Villa Sacinti Prejecti, Saint Priect, puis baptisée "La Républicaine" à la révolution de 1789, la paroisse de Saint Priest est aujourd'hui rattachée au canton d'Evaux les bains.

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Époque gallo-romaine

 

Une nécropole gallo-romaine a été fouillée de 1971 à 1987 au lieu-dit Louroux ; elle a révélé 173 sépultures à incinération.

Lien: Article de Valérie Dussot sur le site Persée

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Le Tromp

 

En 1835, la commune du Tromp et de Saint Priest fusionnent, pour atteindre le chiffre record de 941 habitants en 1836. Depuis, le nombre d'habitants n'a fait que décroitre.  

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L'église du Tromp construite au XIIIème siècle fut détruite en 1818 par un incendie. Nombre de maisons voisines ont également brûlé. Elle devint monument historique en 1929. Ls éléments classés ont été transportés et installés sur la façade sud de l'église de St Priest. Le portail de l'église du bourg est un remploi de celui de l'ancienne église du Tromp incendiée.

 

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L'école 1877

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en 1877, la commune fit le projet de construire une école de filles e de garçons. C'est l'architecte Sauvanet qui réalisa les plans et les devis. puis Sieur tardiva effectua les travaux jusqu'à 1881.. avec la baiss de la population, l'école a dû fermer ses portse en 1987. Depuis cette date, les écoliers vont à l'école de Mainsat et les bâtiments hébergent les bureaux de la mairie.

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Seconde Guerre Mondiale

Durant la seconde guerre mondiale, beaucoup d'enfants, notamment de région parisienne se réfugient en creuse avec leurs instituteurs.

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Le château de Beauregard date des xviie et xviiie siècles et fut remanié au xixe siècle. En 1770, il était habité par le marquis de Lentilhac. En 1789, il appartenait à Jean-Baptiste Grellet de Beauregard, député aux États Généraux puis au baron de Baillet. Aux xixe et xxe siècles, Beauregard possédait un équipage de chasse à courre. En 1917, le baron de Baillet était le seul habitant de la commune à être abonné au téléphone.

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Du moyen-âge au XIXème siècle - Les ouvriers de la creuse

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A la fin du moyen-âge, les ouvriers de la creuse partent à pied rejoindre Paris, Lyon, Dijon, Bordeaux, La Rochelle... Ils partent pour travailler sur les plus gros chantiers français, tels que La Cathédrale notre dame de Paris, le château de Versailles, le Palais des papes à Avignon…

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Au milieu du XIXe siècle: les maçons de la Creuse

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Deux hommes sur trois en âge de travailler partent sur les plus gros ouvrages partout en France. Cette migration temporaire fait que chaque année 35 000 Creusois (soit deux hommes sur trois) quittent leurs villages natals.
A cette période, les moyens de locomotion, notamment les chemins de fer entraînent la migration de nombreuses familles dans les banlieues des grandes villes (Paris, Bordeaux, Lyon...).

Ces "travailleurs émigrés (maçons, peintres, charpentiers, couvreurs...), qu'on appelle les paysans migrants bâtisseurs vivent et travaillent dans des conditions de vie et de travail très rudes.

Une population importante, des terres peu fertiles et des propriétés de petites tailles entraînent les familles qui ont besoin d'argent vers les grandes villes.

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Au XX ième siècle

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A la moitié du XXème siècle la commune de St Priest comptait pour 481 habitants, une trentaine d'artisans ( charpentiers, charrons, coiffeurs, lingères, menuisiers…) pour une dizaine de fonctionnaires (facteur, cantonnier, instituteur...).

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Aujourd'hui

 

Saint-Priest est une commune de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine. Elle s'étend sur une superficie de 22,34km2. C'est une commune rurale de 155 habitants (données de 2019 d'après l'INSEE).